De la sociologie à l’art : prendre place

Nous ne voyons pas le monde comme il est. Nous le voyons comme nous sommes.

Anaïs Nin

Architecte de formation et docteure en sociologie de l’urbain, j’ai installé mon atelier de peintre à Marseille. Mes passions sont la ville, ses formes et ses modes de vie, l’expression des identités dans l’espace, les effets du temps et le déclin des choses. Mais selon moi, le déclin n’en est pas vraiment un, vous allez le voir.

De ce point de vue, il va justement être question ici : car si l’évolution du monde urbain et l’usage qu’en font les humains occupent mes pensées, ils le font d’une manière un peu obsessionnelle – j’ai été diagnostiquée tardivement autiste-asperger.

Pour continuer à avancer, une solution s’est imposée : se retirer du vacarme de la vie académique grâce aux méthodes de représentation graphique. De l’art ? Peut-être bien… Mais alors :

L’art comme (res)source de lâcher-prise.

L’art pour se faire une place. 

Atelier à Marseille – 9 mars 2023